Nos éleveurs
100%producteurs
GAEC LAURENT
Ils nous parle d'eux, de leur métier

Cette semaine, nous retrouvons le GAEC LAURENT à Freycenet en Haute Loire.

Le GAEC est composé de trois associés : Jacky le père et les deux garçons : Anthony 29 ans et Xavier 25 ans ainsi que d’une salariée Martine la mère.

L’exploitation a été reprise en individuelle par Jacky en 1988 au départ à la retraite de ses parents. En 2005 Martine s’installe en EARL, le GAEC est créé en 2015.

En 2017 les 2 garçons s’installent et Martine devient salariée. En 2018 nous construisons une stabulation laitière pour 90 vaches en race Montbéliarde. Le troupeau est constitué de 90 laitières et d’une cinquantaine de génisses.

Nous avons la passion de notre métier mais nous aimons dégager du temps pour notre vie privée : 1 semaine de congés par an et 1 week-end sur 3, nous faisons également des horaires fixes.

Jacky s’investi en tant que 1er adjoint dans sa commune, Anthony est membre au groupement des producteurs de lentilles (produites sur l’exploitation environ5 hectares), Xavier passionné par la génétique est délégué territorial au sein d’X2 Repro et Martine aime valoriser le lait, sous la marque Mont Lait en faisant des animations en magasins.

Chacun à su trouver sa place sur l’exploitation ce qui facilite le travail et soulage les contraintes.

GAEC LAURENT

Cette semaine, nous retrouvons le GAEC Laurent à Freycenet en Haute Loire.

 

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Derrière Mont Lait se cache tout un territoire, mais aussi et surtout des hommes et des femmes animés par la passion et l’engagement.

Être éleveur, cela s’exprime au quotidien : soigner les animaux, les nourrir avec une alimentation de qualité, être attentif à leur bien-être. Pas de vacances, pas de jours fériés pour les vaches. Et pourtant, vous verrez que nos éleveurs sont heureux. En effet ils ont la chance d’exercer un métier passion !

Nos éleveurs sont aussi engagés auprès de la société. Responsables d’une partie de votre alimentation quotidienne, ils sont soucieux de produire un lait de qualité, tant sur le plan sanitaire, que nutritionnel et gustatif. Fidèles à cet engagement, ils ont décidé, à travers l’association des producteurs de lait de montagne, de mettre en place un cahier des charges, garantissant l’authenticité de leur démarche :

  • Respect du bien-être animal, en laissant les vaches pâturer et ainsi exprimer leur comportement naturel,
  • Respect de l’environnement, en préservant les prairies,
  • Respect du consommateur, en produisant un lait riche des bienfaits d’une alimentation basée sur l’herbe.

La mise en place de ce cahier des charges est actuellement en cours.

Olivia et Antoine
Olivia et Antoine
Olivia et Antoine
Olivia et Antoine
Cette semaine, nous retrouvons Olivia et Antoine du GAEC JALLAT BEAUDONNAT à Puy St Gulmier dans le Puy de Dôme. En 2006, Antoine, mon mari, s’installe en individuel sur la ferme familiale. Il construit une stabulation pour les vaches laitières avec en parallèle l’augmentation du cheptel et du volume de lait. En 2017, je le rejoins sur la ferme et nous créons le Gaec. Nous avons également effectué des agrandissements de bâtiments, repris du terrain et augmenté le cheptel avec l’introduction du troupeau de mon papa qui prenait sa retraite. Nous avons 3 enfants, un garçon et deux filles. Nous exploitons 90 ha pour 80 vaches laitières de race Prim’Holstein, Pie Rouge et Normande. Notre exploitation est située dans la zone AOP Bleu d’Auvergne et Fourme d’Ambert. Nous sommes tous les deux passionnés d’élevage et de génétique. J’ai été salariée 10 ans dans la génétique et c’est au cours des visites de ferme que des éleveurs passionnés m’ont fait connaître Mont Lait. C’est pour cela que nous avons adhéré à Mont Lait lors de mon installation. La démarche d’aller à la rencontre du consommateur afin de lui expliquer notre métier m’a séduite.
jacques et Stéphane
Jacques et Stéphane
jacques et Stéphane
Jacques et Stéphane
Cette semaine, nous retrouvons Jacques et Stéphane du GAEC des Myrtilles dans le village de Bugeac en Haute-Loire. Le GAEC est situé à 1200m d’altitude. Jacques s’est installé avec notre père puis Stéphane nous a rejoint dans les années 90. A l’époque, les quotas ne nous permettaient pas d’augmenter le litrage donc avec la venue de Stéphane, nous introduisons un troupeau de vaches allaitantes. En 2000, nous avons construit le bâtiment que vous voyez sur la photo. Dès 2011, nous avons adhéré à Mont Lait pour permettre une meilleure valorisation de notre lait. Nos vaches sont des Abondances, et ce, depuis toujours. Elles sont mieux adaptées à la montagne mais ont un peu plus de caractère que les Montbéliardes. Nous en avons une quarantaine qui sortent du 1er mai à la Toussaint environ. Cette année avec l'arrivée des beaux jours, mes vaches ont pu retrouver les pâturages dès le 1° mars. Sur la 1ère photo, on peut voir Naomie, Occitane, Niagara et Mignonne. Je choisis les noms des veaux en fonction de celui de la mère (cela m'aide à retrouver les ascendances). La mère de Naomie est Légende, la mère d’Occitane est Lozère, la mère de Niagara est Lola, la mère de Mignonne est Jolie. Sur la 2ème photo, on peut voir Lola : sa mère est Héroïne et Marquise dont la mère est Histoire.
Cécile
Cécile
Cécile
Cécile
Cette semaine, nous retrouvons Cécile du GAEC les Trois chênes à Pontaumur dans le Puy de Dôme. J’ai 45 ans, je me suis installée dès ma sortie d’école en 1997 en GAEC sur l’exploitation existante de mes parents et après avoir loué 25ha à proximité. L’exploitation se compose de 88 ha dont 10h de céréales pour nos vaches. Au départ le cheptel se composait de 60 vaches laitières dont le lait en vendu en coopérative. Le cheptel laitier est aujourd’hui en diminution au vu du départ à la retraite proche de mes parents Michelle et Joël. Une autre production de vaches allaitantes se met en place pour réduite la charge de travail. Mon conjoint Laurent a également une exploitation laitière sur 100 ha et un poulailler label à une quinzaine de kilomètres, situés dans les Combrailles. Nous avons deux garçons de 12 et 15 ans qui nous aident aux travaux de la ferme pendant les vacances. Nous avons adhéré à MONTLAIT dès le début et je suis fière de représenter cette marque sur les briques de lait !!
Simon
Simon
Simon
Simon
Cette semaine, nous retrouvons Simon à Flavin en Aveyron. Je suis installé depuis 2016, j'ai pris la suite de mon père qui avait l'âge de la retraite. L'exploitation compte 70 hectares pour 60 vaches. Les vaches pâturent à partir du mois de mars jusqu'au mois d'octobre novembre suivant les conditions météo de l'automne. Je suis passionné par la race Montbéliarde que mon père a introduit dans le troupeau au début des années 90, aujourd'hui il y a 70% de Montbéliarde dans le troupeau. Je participe à quelques concours avec les vaches ce sont des moments conviviaux entre éleveurs et toujours un plaisir de faire défiler ses vaches.
Joris
Joris
Joris
Joris
Cette semaine, nous retrouvons Joris du GAEC des Portes du Gévaudan à Saugues (Haute Loire) Mon père s’est installé en 1983 avec des vaches et des brebis. Dans les années 90 il a arrêté les brebis pour passer à 35 vaches laitières. Je me suis installé avec mon père en 2014. Je savais ce que je voulais faire de l’élevage depuis tout petit. Je suis dedans depuis toujours, j’ai la passion pour les vaches et pour les Montbéliardes. Je fais quelques concours de temps en temps mais il y a du niveau sur le département alors il faut vraiment de très bonnes vaches ! En 2018, mon père a cédé sa place à mon frère. Mon père, à 3 ans de la retraite à fait du remplacement et a été ouvrier dans des communes proches. Aujourd’hui bien qu’il soit retraité, il est souvent avec nous pour donner un coup de main. Mon frère était ouvrier agricole avant de me rejoindre. Avec mon frère les tâches sont réparties : je m’occupe plus des vaches et lui, il gère les terres. On arrive également à se garder du temps libre pour pouvoir faire d’autres choses, on est jeunes mon frère à 24 ans et moi 27. Je fais beaucoup de moto, on a une vie à côté de la ferme même si on y passe beaucoup de temps. Et je suis impliqué dans plusieurs bureaux, j’aime échanger avec les gens. L’année prochaine on récupère des terres familiales qui nous permettront d’être plus autonomes pour produire l’alimentation de nos vaches.
Stéphane
Stéphane
Stéphane
Stéphane
Cette semaine, nous retrouvons Stéphane en Haute Loire. Mon exploitation est située sur la commune de Saugues, sur le plateau de Margeride en Haute-Loire. Je suis en zone de montagne à 1100 m d’altitude. J’ai 57 ha de terres dont 45 ha sont des prairies naturelles pâturées par mes 32 vaches laitières et la vingtaine de génisses. Mes vaches sont des Montbéliardes, il y avait des vaches Abondances et des brebis sur la ferme avant mais j’ai préféré garder les Montbéliardes. J’ai adhéré à Mont Lait en 2011, dans un contexte où notre produit était très peu reconnu notamment par les collecteurs de lait. On me disait que ce serait de l’argent perdu mais aujourd’hui on voit que Mont Lait est présent un peu partout et nous avons des retours financiers. nt nous apportent une diversité dont on ne se lasse pas.
Olivia et Antoine
Olivia et Antoine
Olivia et Antoine
Olivia et Antoine
Cette semaine, nous retrouvons Olivia et Antoine du GAEC JALLAT BEAUDONNAT à Puy St Gulmier dans le Puy de Dôme. En 2006, Antoine, mon mari, s’installe en individuel sur la ferme familiale. Il construit une stabulation pour les vaches laitières avec en parallèle l’augmentation du cheptel et du volume de lait. En 2017, je le rejoins sur la ferme et nous créons le Gaec. Nous avons également effectué des agrandissements de bâtiments, repris du terrain et augmenté le cheptel avec l’introduction du troupeau de mon papa qui prenait sa retraite. Nous avons 3 enfants, un garçon et deux filles. Nous exploitons 90 ha pour 80 vaches laitières de race Prim’Holstein, Pie Rouge et Normande. Notre exploitation est située dans la zone AOP Bleu d’Auvergne et Fourme d’Ambert. Nous sommes tous les deux passionnés d’élevage et de génétique. J’ai été salariée 10 ans dans la génétique et c’est au cours des visites de ferme que des éleveurs passionnés m’ont fait connaître Mont Lait. C’est pour cela que nous avons adhéré à Mont Lait lors de mon installation. La démarche d’aller à la rencontre du consommateur afin de lui expliquer notre métier m’a séduite.
jacques et Stéphane
Jacques et Stéphane
jacques et Stéphane
Jacques et Stéphane
Cette semaine, nous retrouvons Jacques et Stéphane du GAEC des Myrtilles dans le village de Bugeac en Haute-Loire. Le GAEC est situé à 1200m d’altitude. Jacques s’est installé avec notre père puis Stéphane nous a rejoint dans les années 90. A l’époque, les quotas ne nous permettaient pas d’augmenter le litrage donc avec la venue de Stéphane, nous introduisons un troupeau de vaches allaitantes. En 2000, nous avons construit le bâtiment que vous voyez sur la photo. Dès 2011, nous avons adhéré à Mont Lait pour permettre une meilleure valorisation de notre lait. Nos vaches sont des Abondances, et ce, depuis toujours. Elles sont mieux adaptées à la montagne mais ont un peu plus de caractère que les Montbéliardes. Nous en avons une quarantaine qui sortent du 1er mai à la Toussaint environ. Cette année avec l'arrivée des beaux jours, mes vaches ont pu retrouver les pâturages dès le 1° mars. Sur la 1ère photo, on peut voir Naomie, Occitane, Niagara et Mignonne. Je choisis les noms des veaux en fonction de celui de la mère (cela m'aide à retrouver les ascendances). La mère de Naomie est Légende, la mère d’Occitane est Lozère, la mère de Niagara est Lola, la mère de Mignonne est Jolie. Sur la 2ème photo, on peut voir Lola : sa mère est Héroïne et Marquise dont la mère est Histoire.
Cécile
Cécile
Cécile
Cécile
Cette semaine, nous retrouvons Cécile du GAEC les Trois chênes à Pontaumur dans le Puy de Dôme. J’ai 45 ans, je me suis installée dès ma sortie d’école en 1997 en GAEC sur l’exploitation existante de mes parents et après avoir loué 25ha à proximité. L’exploitation se compose de 88 ha dont 10h de céréales pour nos vaches. Au départ le cheptel se composait de 60 vaches laitières dont le lait en vendu en coopérative. Le cheptel laitier est aujourd’hui en diminution au vu du départ à la retraite proche de mes parents Michelle et Joël. Une autre production de vaches allaitantes se met en place pour réduite la charge de travail. Mon conjoint Laurent a également une exploitation laitière sur 100 ha et un poulailler label à une quinzaine de kilomètres, situés dans les Combrailles. Nous avons deux garçons de 12 et 15 ans qui nous aident aux travaux de la ferme pendant les vacances. Nous avons adhéré à MONTLAIT dès le début et je suis fière de représenter cette marque sur les briques de lait !!
Simon
Simon
Simon
Simon
Cette semaine, nous retrouvons Simon à Flavin en Aveyron. Je suis installé depuis 2016, j'ai pris la suite de mon père qui avait l'âge de la retraite. L'exploitation compte 70 hectares pour 60 vaches. Les vaches pâturent à partir du mois de mars jusqu'au mois d'octobre novembre suivant les conditions météo de l'automne. Je suis passionné par la race Montbéliarde que mon père a introduit dans le troupeau au début des années 90, aujourd'hui il y a 70% de Montbéliarde dans le troupeau. Je participe à quelques concours avec les vaches ce sont des moments conviviaux entre éleveurs et toujours un plaisir de faire défiler ses vaches.
Joris
Joris
Joris
Joris
Cette semaine, nous retrouvons Joris du GAEC des Portes du Gévaudan à Saugues (Haute Loire) Mon père s’est installé en 1983 avec des vaches et des brebis. Dans les années 90 il a arrêté les brebis pour passer à 35 vaches laitières. Je me suis installé avec mon père en 2014. Je savais ce que je voulais faire de l’élevage depuis tout petit. Je suis dedans depuis toujours, j’ai la passion pour les vaches et pour les Montbéliardes. Je fais quelques concours de temps en temps mais il y a du niveau sur le département alors il faut vraiment de très bonnes vaches ! En 2018, mon père a cédé sa place à mon frère. Mon père, à 3 ans de la retraite à fait du remplacement et a été ouvrier dans des communes proches. Aujourd’hui bien qu’il soit retraité, il est souvent avec nous pour donner un coup de main. Mon frère était ouvrier agricole avant de me rejoindre. Avec mon frère les tâches sont réparties : je m’occupe plus des vaches et lui, il gère les terres. On arrive également à se garder du temps libre pour pouvoir faire d’autres choses, on est jeunes mon frère à 24 ans et moi 27. Je fais beaucoup de moto, on a une vie à côté de la ferme même si on y passe beaucoup de temps. Et je suis impliqué dans plusieurs bureaux, j’aime échanger avec les gens. L’année prochaine on récupère des terres familiales qui nous permettront d’être plus autonomes pour produire l’alimentation de nos vaches.
Stéphane
Stéphane
Stéphane
Stéphane
Cette semaine, nous retrouvons Stéphane en Haute Loire. Mon exploitation est située sur la commune de Saugues, sur le plateau de Margeride en Haute-Loire. Je suis en zone de montagne à 1100 m d’altitude. J’ai 57 ha de terres dont 45 ha sont des prairies naturelles pâturées par mes 32 vaches laitières et la vingtaine de génisses. Mes vaches sont des Montbéliardes, il y avait des vaches Abondances et des brebis sur la ferme avant mais j’ai préféré garder les Montbéliardes. J’ai adhéré à Mont Lait en 2011, dans un contexte où notre produit était très peu reconnu notamment par les collecteurs de lait. On me disait que ce serait de l’argent perdu mais aujourd’hui on voit que Mont Lait est présent un peu partout et nous avons des retours financiers. nt nous apportent une diversité dont on ne se lasse pas.